Ces lentilles connectées qui affichent des informations en réalité augmentée deviennent une réalité
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On dit souvent que se sont les personnes qui sont aveugles ou presque qui sont mal voyantes. Or, c'est faux. Moi même je suis mal voyant, en effet, j'ai une très mauvaise vue, avec une myopie très forte. C'est pourquoi, j'ai décidé d'axé ma veille technologique dans ce sens.
La société qui est le plus avancé dans le domaine est la société "Mojo Vision". Mais ce n'est pas la seule entreprise. En effet, Google, Samsung, Sony, ... se sont aussi lancé dans cette prouesse technologique. Ces lentilles permettent d'avoir des informations en réalité augmentée. Elles embarquent également un système de communication sans fil. Tout cela en plus de corriger la vision des personnes malvoyantes. Ces lentilles ont pour but, au final, de remplacer nos téléphones. Jusqu'à aujourd'hui, c'est lentilles ne sont toujours pas sur le marché malgré une présentation de Mojo Vision au CES 2020 (Consumer Electronics Show). En plus des lentilles proposé par Mojo Vision, d'autres : iLens. Ces dernières seront capable de d'enregistrer tout ce que nous voyons, avec la possibilité de revivre nos souvenirs. L'entreprise nous propose aussi de pouvoir voir dans la nuit, de zoomé.
De nombreuses questions se posent concernant le côté éthique et de la sécurité sur les Lentilles connectés. Les risques principaux sont donc : le priratage des données personnelles, l'atteinte à la vie privée des utilisateurs et les dérivés prévisibles du "tout connecté"
Pour éviter toute atteinte à la vie privée de son utilisateur, l'entreprise qui gère la collecte et l'exploitation des données doit être particulièrement encadrée et maîtrisée. Les données qui peuvent être récoltés sont :
- nom, prénom, pseudo ;
- numéro d'identification ;
- adresse IP ;
- adresse e-mail et téléphone ;
- adresse postale et géolocalisation (risque de profilage) ;
- habitudes de vie ;
- données de santé ;
- heure des repas ;
- personnes rencontrées ;
- heures de travail ou de loisir.
Le risque de dérives du "tout connecté" est, par exemple, qu'une assurance connaisse nos données relatives à la santé et qu'ils nous fassent subire une supprime ou une exclusion d'assurance. L'assurance n'est qu'un exemple mais ca peut fonctionner pour beaucoup d'autres entreprises comme les banques, entres autres. C'est ici, la liberté du consommateur qui est remise en question et qui devra être protégé.
Initialement, c'est la loi Informatique et libertés du 6 janvier 1978 qui a donné un cadre juridique à la protection des données personnelles en France.
Au niveau européen, le règlement général sur la protection des données (RGPD) est entré en vigueur pour tous les États membres le 25 mai 2018 (règlement n° 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016). La loi Informatique et libertés a donc été modifiée en conséquence, par la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés (réécrite par l’ordonnance n° 2018-1125 du 12 décembre 2018 applicable au 1er juin 2019).
La loi pose un principe de loyauté dans la collecte des données via des objets connectés
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